Ce que les hôpitaux de Montréal nous apprennent sur l’importance d’une extermination proactive
Quand on pense aux hôpitaux, on imagine des lieux propres, stériles, et hautement contrôlés. Pourtant, selon un récent reportage de Radio-Canada, plusieurs établissements de santé montréalais ont dû débourser des milliers de dollars en services d’extermination pour gérer des infestations de rats, de souris et de coquerelles. Ce constat peut surprendre, mais il met en lumière une réalité que bien des propriétaires d’immeubles connaissent : les infestations n’épargnent personne, peu importe le type de bâtiment.
Une facture salée pour les hôpitaux
Entre janvier 2021 et octobre 2023, c’est plus de 245 000 $ qui ont été dépensés en extermination dans une vingtaine d’hôpitaux montréalais, dont l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont. Les coquerelles et les rongeurs figurent parmi les principaux indésirables signalés. Ces nuisibles ne causent pas seulement des dégâts matériels; ils posent aussi un risque réel pour la santé des patients et du personnel.
Si des lieux aussi bien entretenus que les hôpitaux peuvent être envahis, cela veut dire que personne n’est à l’abri. Et dans bien des cas, plus on tarde à réagir, plus la facture grimpe.
Pourquoi agir rapidement est essentiel
Les infestations commencent souvent discrètement. Une souris dans le mur. Une coquerelle dans la cuisine. On ferme les yeux, on espère que ça se règle tout seul… mais la réalité est tout autre.
- Les rongeurs, en plus de gruger les fils et isolations, se reproduisent rapidement.
- Les coquerelles, elles, laissent des traces contaminées dans les zones alimentaires et les salles de bain.
- Et lorsqu’un bâtiment est temporairement inoccupé ou moins fréquenté (comme pendant des rénovations), les indésirables en profitent.
Les hôpitaux n’ont pas le luxe d’attendre. Et pour les propriétaires d’immeubles résidentiels ou commerciaux, c’est exactement la même logique qui s’applique.
Mieux vaut prévenir que guérir
Une approche proactive est souvent la meilleure défense. Un exterminateur d’expérience à Montréal ne fait pas que poser quelques pièges. Il évalue les points d’entrée, détecte les signes précoces d’infestation et propose des solutions adaptées à votre type de bâtiment et à votre quartier.
Voici quelques gestes simples à poser pour réduire les risques :
- Sceller les fissures et ouvertures autour des fondations, portes et fenêtres
- Conserver les aliments dans des contenants hermétiques
- Nettoyer régulièrement sous les électroménagers
- Réparer les fuites d’eau (l’humidité attire les coquerelles)
- Planifier des inspections préventives avec un professionnel
L’expertise locale fait la différence
À Montréal, les saisons ont un impact direct sur les infestations. Les souris cherchent à entrer dès l’automne. Les coquerelles prolifèrent pendant les périodes humides. Et les rats, bien présents dans les égouts de la ville, peuvent facilement trouver leur chemin dans les immeubles anciens ou mal scellés.
Faire appel à un exterminateur local permet de profiter d’une expertise adaptée au contexte montréalais. Du type d’insecte au comportement des rongeurs dans certains arrondissements, l’expérience du terrain fait toute la différence.
Vous êtes propriétaire d’un immeuble, gestionnaire de copropriété ou inquiet de signes d’infestation?
N’attendez pas que la situation dégénère. Une intervention rapide peut vous éviter bien des tracas… et protéger la santé des occupants.
Le cas des hôpitaux comme exemple
Ce que vivent les hôpitaux de Montréal nous rappelle que la lutte contre les infestations est un enjeu constant, même dans des lieux où l’hygiène est une priorité. Pour les propriétaires et gestionnaires d’immeubles, c’est un signal d’alarme : l’extermination ne devrait jamais être vue comme une solution temporaire, mais bien comme une composante essentielle de l’entretien d’un bâtiment.
Ne pas investir en prévention, c’est souvent devoir investir en réparations, en gestion de réputation, et dans le cas d’un hôpital, en relations publiques.
Référence :
Cet article s’inspire d’un reportage publié par Radio-Canada concernant les problèmes d’infestation dans plusieurs hôpitaux de Montréal. Pour consulter l’article original : Radio-Canada